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26 février 2008 2 26 /02 /février /2008 19:53
" Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et la paresse" Voltaire (Candide)
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25 février 2008 1 25 /02 /février /2008 22:14
J'inaugure cette nouvelle rubrique par une de mes citations préférées d'un de mes auteurs préférés : François René de Chateaubriand.

" Il faut être économe de son mépris étant donné le grand nombre des nécessiteux. "

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24 février 2008 7 24 /02 /février /2008 19:20
C'est d'un roman de souvenirs que je vous parle aujourd'hui. Un roman-histoire plus précisément. C'est le livre intitulé "Chapelet d'ombres" de la romancière tunisienne Jelila Behi. Un voyage extraordiaire danDSC01557-copie-1.JPGs le Tunis d'avant l'indépendance au travers du regard d'une jeune fille -héroïne- du nom d'Amina. Une plongée dans les traditions arabo-musulmanes qui ponctuent depuis lors jusqu'à aujourd'hui même la vie de milliers et de millions de personnes. Une histoire bien ficelée, prenante d'une écrivaine au talent remarquable et au soucis de précision exemplaire.

Un livre à lire de toutes urgence même s'il date un peu : publication de1993.
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23 février 2008 6 23 /02 /février /2008 18:23

Hier, vendredi 23 févr. 08, théâtre du châtelet, Paris.

 

Cérémonie des Césars.

 

Je voudrais saluer deux prestations, deux personnes, deux artistes, deux talents.

  images.jpg

D’abord Marion Cotillard, récompensée par le prix de la meilleure actrice féminine de l’année pour son rôle –renversant- dans ‘La Môme’. Une incursion réussie, prenante et surprenante dans l’intimité de la somptueuse et bouleversante Edith Piaf  de ses débuts au sommet de sa gloire en passant par ses déboires, Marion nous offre là un personnage saisissant de vérité, d’émotion et d’humanité ! Bravo, chapeau l’artiste. D’ailleurs l’Académie des arts n’a pas fait faux-bond à la prestation en lui remettant comme il se devait le prix.

 

Ensuite, c’est pour moi la surprise et la fierté de la cérémonie : ‘La graine et le mulet’ d’Abdelatif Kechiche gr.jpgqui reçoit trois césars dont celui du meilleur réalisateur (je me trompe peut-être, meilleur espoir féminin et celui de meilleur Film (ça c’est sûr !). Ce natif de Tunis, mon contemporain et compatriote apporte la fierté à tout un pays, par un art que peu d’entre nous maîtrisent : le cinéma. Nous sommes tous fiers de cette prestation, de cet exploit tant nous pensions que ‘La Môme’ raflerait tout, sans exception. Bravo Mr. Au plaisir de revoir une de vos œuvres !

 

Marion… rendez-vous aux oscars ce dimanche !

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21 février 2008 4 21 /02 /février /2008 22:47
Dans  le cadre de l'histoire, je vous propose de d'indiquer un chemin que vous veriez bien la nouvelle prendre...
Vos indications me seront d'une très grande aide !
Et je n'hésiteraits pas à m'y réferer...

Celui qui proposera la meilleure idée, vera un lien se déposer sur ce blog en première page et bien evidement son nom cité dans le cadre de l'histoire...

Merci à tous pour votre attention...
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19 février 2008 2 19 /02 /février /2008 22:09
Chroniques de la pitié
Ou comment attirer sur soi
la compassion d’autrui,
quand on a une vie de merde.

 

 

-----VIII-----

 

 

Sous un affreux soleil d’un matin de printemps, je me mis à la vitrine du magasin, espérant, plus par ennui que par autre chose, assister à une bribe ou plus, de l’agitation quotidienne de la rue.

Pas un nuage dans le ciel. Pas de pluie, pas de froid. Voilà qu’il me manque, maintenant.

 

Dehors, il faisait b… be… beau ! Les oiseaux gazouillaient à vous crever les tympans, les enfants vaquaient à leurs futilités débiles et quelques couples arpentaient sans but la rue, en se tenant la pâte comme pour ne pas se perdre.

 

Trois voitures attendaient en file indienne leur tour pour passer au lavage. Un seul employé s’occupait de toute la besogne. Mais où était donc le garagiste ?

Je traînais mon regard sur toute la longueur du trottoir, à l’affût de la bête. Surprise ! Il était chez la blonde-coiffeuse d’en face. Ils discutaient. Je l’apercevais, de dos, qui devait baratiner la pauvre petite, entièrement dissimulée derrière ce ramassis de graisse. Ni une ni deux, je me lève, animé par un sentiment étrange, mélange de… et de… je ne sais plus.

C’est tout ?

Non, je devais faire quelque chose. Je me levai. Mon regard sillonna les étagères tout autour du comptoir. Je ne voyais que des clés, Gorgo, mon singe en bois et les figurines de danseuses, achetées à l’autre fou.

Tant pis, je ferai avec…

La figurine abandonnée dans un sac respectable, je quittai ma boutique. Deux tours de clé. Je traversai la route, jusqu’au salon de coiffure d’en face.

-          Bonjour.

Le garagiste se retourna. La blonde me lança un sourire de bienvenue, lui, grogna ou se racla la gorge ou fit quelque chose qui y ressemblait.

-          Je vous apporte un petit cadeau, offert par la maison » lançai-je en mettant le plus de bonne volonté dans ma voix.

-          Oh, merci » répondit-elle immédiatement.

-          Je vous dérange, peut-être » rétorquai-je aussitôt, sur ton totalement neutre.

-          Oh, non ! pas du tout » répliqua t-elle. « D’ailleurs, le monsieur devait partir. »

 

Je ne sais pas si c’était le fait qu’elle l’appelle ‘le monsieur’ ou le fait qu’elle l’ait indirectement invité à sortir qui le dérangea mais il fit deux pas en marmonnant quelque chose… une insulte peut-être. Il ouvrit la porte et lui lança un Pensez-y quand même, avant de sortir sans même un au revoir.

Quelle politesse ! Rien d’étonnant ; ma grand-mère disait très justement d’ailleurs « Etoffé sous les aisselles, maigrichon de la cervelle »…

 

-          Alors, qu’est que c’est ? » demanda t-elle impatiemment.

-          Oh, rien de fulgurant. Ce n’est qu’une petite figurine, une danseuse du ventre. » je sorti la statuette du sac.

-          Oh, elle est magnifique ! vraiment ! » elle prit la danseuse entre ses petites mains et la tourna dans tous les sens, un sourire collé à ses lèvres.

Silence. Et maintenant ? J’étais à court d’idées…

-          Je voulais vous rendre une petite visite… C’est fou de savoir que nous sommes tous les matins, l’un en face de l’autre, sans jamais nous adresser que des coucous lointains, sans jamais plus !

-          Je suis tout à fait d’accord. J’aurais du faire le premier pas…

-          En plus, je voyais que vous étiez toute seule…

-          Enfin, pas exactement seule, il y avait…

-          Ah bon, il y avait quelqu’un ?

-          Oui, le gr… le garagiste » dit-elle, un soupçon d’hésitation dans la voix.

-          Oh, oui. D’ailleurs, je ne sais pas pour vous, mais je trouve que c’était beaucoup plus calme maintenant... Attention ! je n’ai rien contre lui !

-          … Je trouve aussi, ne vous inquiétez pas. » coupa t-elle.

 

Elle m’invita à m’asseoir, privilège qu’elle n’avait pas accordé au ‘gros’. Nous discutâmes de tout et de rien. Du temps qu’il faisait la veille, des nouvelles du voisinage, etc.

Même si elle semblait reprendre de l’aplomb, elle ne parvenait qu’à peine à dissimuler les relents de tristesse qui l’envahissaient encore. Voilà deux mois déjà que…

Parfois, pour remédier au silence qui interrompait nos paroles, elle se levait, farfouillait dans un tiroir, ouvrait puis fermait un placard ou faisait mine d’attendre un appel sur son téléphone.

Face à elle, je me sentais… je ne me sentais plus. Ce corps rigide, cette âme fanée, ces pensées noires ; tout me quittait. Il ne restait plus qu’un cœur qui s’épanouissait à la lumière de son regard, qui paressait, serein, à l’éclat de sa blondeur. Je n’irais pas jusqu’à dire que j’étais heureux, mais je n’en étais pas très loin. Je ne pensais plus vraiment à ce que je disais…

 

-          Aimeriez-vous prendre un café… » proposai-je soudainement.

Elle hésita. Elle se tu. Silence. Rien ?

-          … Ce serait avec plaisir » répliqua t-elle après un certain temps.

-          Alors allons-y…

-          Mais… la boutique… je ne peux pas laisser le salon… et je ne peux pas non plus fermer... » elle dit ces quelques mots comme un enfant craindrait d’avoir le cœur brisé de ne pas pouvoir porter secours à un chiot blessé, c’est ce à quoi elle me fit penser sur le moment. Fragilité, tristesse, vulnérabilité, impuissance ; autant de malheur dans un si petit corps ; autant de malheur cohabitant avec autant de beauté. Pourquoi elle ? Pourquoi pas le ‘gros’ ? Lui est une brute, il supporterait… Pourquoi elle ?

 

Sans même m’en rendre compte, j’étais debout, je la tenais dans mes bras. Elle, s’était laissée faire. Elle m’étreignis par la taille et serra un peu plus. Mentalement, j’essayais de lui léguer de bons sentiments, de bonnes ondes tout en m’imbibant de la noirceur qui la contaminait. Je voulais partager sa peine -pas pour moi, cela ne m’apporterait rien- mais pour elle, pour soulager sa souffrance, pour l’alléger, ne serait-ce qu’un peu de son fardeau.

Elle appuya son visage contre ma poitrine et chaque parcelle de mon corps frémit de peine.

Elle ne pleura pas. Elle ne gémit pas, comme le ferait d’autres… loques !

Elle, restait forte, malgré tout. Elle retira une main, puis la deuxième avant de faire un pas en arrière. Elle me fixa d’un regard qui suffisait à remplacer mille ‘merci’.

 

Il ne se passa rien de spécial, mais c’est souvent dans ces moments là que l’on a le plus besoin de soutient de compréhension, d’amour…

-          Allons-y » lui dis-je doucement.

-          Oui, allons-y » répondit-elle.

 

Nous quittâmes le salon, qu’elle ferma à clé. Nous n’avions fait qu’un pas lorsque…

-          Où allez-vous ? » Scanda une voix rauque, lourde, désagréable : le ‘gros’.

-          Boire un café. » répondit la blonde.

-          Je viens alors » rétorqua la baleine.

Nous partîmes tous les trois en silence vers le café… Ah non, lui parlait toujours…

Du bruit, rien de plus…

 

 

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18 février 2008 1 18 /02 /février /2008 23:18
Il serait trop grave de vous raconter ne serait-ce que le speech !jekyll.jpg

Un conseil regardez, frissonez et vous m'en direz des nouvelles !

Diffusion: Canal+ Chaque lundi à partir de 20h50 (2 épisodes) + plusieurs rediffusions en semaines...
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17 février 2008 7 17 /02 /février /2008 15:13
Chroniques de la pitié
Ou comment attirer sur soi
la compassion d’autrui,
quand on a une vie de merde.

 

 

-----VII-----

 

 

Dans le milieu des affaires, les idées des autres sont toujours assez bonnes pour être pompées. C’est une de ces déductions subtiles que le domaine m’a apprise. Pendant cinq ans, j’ai fréquenté cette jungle : j’ai travaillé comme publicitaire pour une grande entreprise nationale. Là bas, quand quelqu’un était à cours d’idées –ce qui arrivait très souvent- il n’hésitait pas à tendre un œil ou une oreille pour vous rafler vos bonnes trouvailles sous le nez.

Pire, même ! Il n’hésitait pas à tendre une jambe pour vous mettre à terre –et je parle à tous les sens. Il attendait le meilleur moment pour vous planter un couteau dans le dos, et il ne se contentait pas de cela, il touillait par pur plaisir.

Il fallait alors user des ruses les plus habiles pour survivre dans cet environnement sans pitié. Toute cette agitation, imperceptible aux yeux d’un néophyte, avait pour seul et unique but de recevoir le souffle d’espoir que représentait la prime de fin de mois, légué au plus productif.

De tout ce chaos que j’ai quitté, je n’ai gardé que quelques habitudes.

 

Je marchais un jour dans les rues du centre de Tunis. J’errais parmi les odeurs, les cris, les bousculades de cette masse… ce tas. Je ne savais pas ce que je cherchais, mais je savais que je cherchais quelque chose.

Au détour d’une rue, je m’arrêtai devant une vitrine sobre qui laissait apercevoir une foule d’objets anciens, en apparence. J’entrai. Personne au comptoir. Je m’avançai prudemment dans les rayonnages abondants.

 

Je n’aime pas la prétention. Ceux qui pètent plus haut que leur cul me sidèrent. Ils puent l’égocentrisme et l’affichent par un regard, des mots ou des gestes. Mais nous sommes tous doué pour quelque chose, à propos de laquelle nous pouvons nous permettre de parler sans que cela ne passe pour de l’orgueil. Pour moi, cette chose là, ce sont les objets d’art. Je peux vous évaluer la qualité d’un bibelot en un regard, sans me tromper ou avec une légère marge. Je suis fait pour cela, mais ne nous étalons pas sur le sujet.

 

J’étais donc entré dans le magasin. Je vis deux figurines de danseuses du ventre, mises côte à côte. Elles n’avaient aucune valeur réelle. Le visage était quelque peu effacé, par le temps sûrement, et la posture aurait pu suggérer beaucoup de choses à ceux dont les esprits résident au fond de leurs slips. Je ne sais pas ce qui m’est arrivé alors, mais je décidai de les acheter toutes les deux. En revenant sur mes pas, à l’entrée de la boutique…

 

 

-          Aaah !

-          Aaah !

-          Vous êtes qui ?

-          Et vous, vous êtes qui ?

-          Vous êtes dans MA boutique, à vous de répondre ? comment vous êtes entré ? » l’homme me fixait du regard et restait un peu en retrait de la caisse.

-          Par la porte, bien sûr !

-          Ne me prenez pas pour un imbécile, je le sais…

-          Que je suis entré par la porte ou que vous êtes un… ?

-          Arrêtez ! Vous me devez le respect, je pourrais être votre père ! » rétorqua t-il sur un ton autoritaire.

-          Je vois ça » répondis-je en retrouvant mon calme. « C’est comme ça que vous accueillez vos clients ?

-          Mes clients n’entrent pas comme des voleurs !

Silence.

-          Alors, qu’est ce que vous voulez ? » demanda t-il sans avoir encore encaissé la frayeur.

-          … Acheter ça » lui dis-je en montrant les deux figurines.

-          Vous avez du goût » lança t-il sur ton ou la condescendance se mêlait à une ironie incontrôlée.

-          Oh, épargnez-moi vos compliments. On sait vous et moi qu’elles ne valent pas grand-chose, alors je vous les prends pour dix dinars chacune.

-          Vous êtes fou ! J’ai une femme à entretenir et des enfants à nourrir !

-          Et moi une maison à décorer…

-          Quarante dinars la pièce, pas moins !

-          Vous entretiendriez une femme et nourririez des enfants avec de l’argent sale ?

-          Non et je n’en suis pas encore là !

Silence. Je me trouvai dans l’impasse…

-          C’est un prix pour touristes ça ! Wild lebled (compatriote), faites un effort ! » répliquai-je par l’argument qui a le plus court en Tunisie.

-          Très bien, trente dinars la pièce.

-          Jamais ! Regardez-les, elles ne valent même pas le premier prix que je vous ai proposé ! » lui dis-je en les lui mettant sous le nez. « Regardez-la, elle a le cul à l’air et la gueule en miette ! Et l’autre, trois orteils en moins et un bras de manchot ! Elles ne valent pas deux centimes ! mais je vais faire un effort… quinze dinars la pièce. »

Silence. Il hésitait.

-          Monsieur, ici on ne marchande pas le prix des femmes, surtout quand elles dansent. » répliqua t-il après réflexion. C’est tout ce qu’il avait trouvé… Peu convaincant.

-          Vous les vendez bien, pourquoi ne pas marchander ? Et puis, techniquement, je ne marchande pas. J’évite juste de me faire pigeonner. C’est mon dernier prix : trente pour les deux ! » affirmai-je avec assurance et sur le ton d’un dernier ultimatum.

Silence. Il hésitait. Je sorti un billet de trente dinars que je mis sur le comptoir comme pour clore le marché.

-          Pour la peine, vous n’aurez pas de sac en plastique. » Dit-il après un certain temps, irrité.

-          Ne vous inquiétez pas. De toutes les façons, je n’aime pas polluer.

 

Il ronchonna et pris l’argent. Moi je mis les figurines dans chaque poche de mon veston et sortit sous le ciel ombrageux de Tunis.

 

S’il y a bien une chose dont j’ai toujours été fier c’est de ma capacité à vaincre mes bas instincts, à dominer mes penchants. J’ai toujours su encadrer, éroder mes pulsions.

Le sexe attend l’amour et la raison. Le mensonge après la réflexion. L’économie après le don. Mais il y a une chose qui a toujours échappée à ce contrôle rigoureux. Une chose que je n’ai jamais pu ou su canaliser : la faim.

J’ai toujours faim et ne me prive jamais. Pourtant mon apparence démentirait cela, mais les apparences ne sont-elles pas trompeuses ?

 

Mon périple dans le centre-ville, me conduisit à un fast-food du coin, assez connu de tous et au logo jaune. A peine la porte ouverte et dépassée, vous entrez dans un monde nouveau, surprenant. Ce monde est habité de gens comme vous et moi, ou presque. Seulement eux, sont seuls. Si vous les voyiez. Tous des dodus, assis sur une chaise-et-demi et se goinfrant jusqu’à satiété et au delà. Certains se lèvent pour partir. Ils s’appuient alors sur la table, qui au passage feint de céder, et prennent leur cartable, leur veste et leur graisse qui pendouille.

Leur derrière les nourrirait jusqu’au siècle prochain, s’ils n’avaient plus rien, et eux, ne semblent même pas s’en apercevoir.

 

La Tunisie ne fait pas défaut à cette vague d’obésité qui assaille le monde moderne. Et moi, je me dresse contre cette tendance néfaste et -néanmoins- involontaire, je le sais bien. Je m’y oppose parce que je l’ai connue et l’ai souffert…

Mais pourquoi est-ce que je vous raconte tout cela déjà ? Je ne sais plus. Tant pis. Passons… 

 

La journée s’acheva par un ciel grincheux, un soleil timide et un vent excité. Je retournai à la boutique.

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15 février 2008 5 15 /02 /février /2008 22:38
Sur la même lignée, je vous invite à regarder une autre série greek.bmp.jpg
qui passe également sur  Virgin17 du nom de Greek 
une super série qui cette fois-çi vous invitera dans le monde impitoyable des fraternités  universitaires en amérique...

La série est programmée tous les jours à 16h30 et à 19h30... à ne surtout pas manquer !
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14 février 2008 4 14 /02 /février /2008 22:30

blackdonnellys.jpgJe voudrais vous faire partager une série que je regarde depuis peu. Le succès ne l’a pas encore révélée aux yeux de tous, mais elle ne manquera pas de marquer ceux qui l’auront vue.

Cette série s’appelle « The black Donellys » et est diffusée en France le jeudi soir à partir de 20h45 sur la chaîne –TNT- Virgin 17.

 

La série met en place quatre jeunes frères qui se retrouvent embourber dans des affaires de mafia. La qualité est au rendez-vous et les acteurs principaux saisissants de talent. Mieux qu’un speech, je vous conseil de regarder.

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Sans Prétention... Moi.

  • Z.Boussen
  • Ma vie est un mystère... Moi même n'en connais que très peu de choses. Vous voulez en savoir plus ? Contactez-moi, on fouillera le plus possible.
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